Durée : 1h 25min
Genre : Comédie
De : Laetitia Dosch
Avec : Laeticia Dosch, François Damiens, Pierre Deladonchamps
L’histoire :
Avril, avocate abonnée aux causes perdues, s’est fait une promesse : sa prochaine affaire, elle la gagne ! Mais lorsque Dariuch, client aussi désespéré que sa cause, lui demande de défendre son fidèle compagnon Cosmos, les convictions d’Avril reprennent le dessus. Commence alors un procès aussi inattendu qu’agité : le procès du chien.
Anecdotes de tournage :
Naissance du projet : Avant Le Procès du chien, sa première réalisation, la comédienne s’est souvent intéressée aux espèces non humaines et dans son émission Radio Arbres (2021), elle a imaginé une libre-antenne pour végétaux : « Je suis très préoccupée par la crise écologique, et je cherche le rôle que peut jouer la culture face à ça. Pour moi, cette crise vient d’une ignorance, d’une insensibilité vis-à-vis des autres espèces de notre écosystème.
Cannes 2024 : « Le Procès du chien » a été présenté en sélection Un Certain Regard au Festival de Cannes 2024.
Inspiré de faits réels : « Le Procès du chien » est inspiré de faits réels. La réalisatrice a entendu parler d’un procès du maître d’un chien accusé de morsures répétées qui avait fini par enflammer toute une ville. Elle précise : « Les gens avaient fait des pétitions, s’étaient beaucoup impliqués, affrontés. Ça m’a rappelée le moment du mariage pour tous. Lorsqu’il y a un changement de pensée, cela crée des réactions épidermiques, parce qu’il y a du flou, du trouble, ce que les humains ont du mal à accepter. »
Avis de la presse :
- 20 minutes : « Le Procès du chien regorge d’une humanité admirable qui ne tombe jamais dans la mièvrerie. »
- Sud Ouest : « La comédienne Laetitia Dosch signe une comédie loufoque, inventive, percutante. »
- Le Monde : « Ici, désirs de pédagogie et de clarté se percutent, ouvrant sur une grande dissertation juridico-philosophique : qui est le chien pour l’homme ? Dans son grand brouillon, le film finit par ne ressembler à rien de connu, échappant à tous les formatages qui le menaçaient, inventant quelque chose de sincèrement foutraque. »