• 22 octobre 2024 à 20:30

Cinéma – « Le Procès du Chien » réalisé par Laeticia DOSCH

Publics : Famille, Tout Public
Tarif : 5.00 € (adhérents) / 6,00 € (non adhérents)

Durée : 1h 25min

Genre : Comédie

De :  Laetitia Dosch

Avec : Laeticia Dosch, François Damiens, Pierre Deladonchamps

 

 

L’histoire :

Avril, avocate abonnée aux causes perdues, s’est fait une promesse : sa prochaine affaire, elle la gagne ! Mais lorsque Dariuch, client aussi désespéré que sa cause, lui demande de défendre son fidèle compagnon Cosmos, les convictions d’Avril reprennent le dessus. Commence alors un procès aussi inattendu qu’agité : le procès du chien.

 

 

Anecdotes de tournage :

 

Naissance du projet : Avant Le Procès du chien, sa première réalisation, la comédienne s’est souvent intéressée aux espèces non humaines et dans son émission Radio Arbres (2021), elle a imaginé une libre-antenne pour végétaux : « Je suis très préoccupée par la crise écologique, et je cherche le rôle que peut jouer la culture face à ça. Pour moi, cette crise vient d’une ignorance, d’une insensibilité vis-à-vis des autres espèces de notre écosystème.

 

Cannes 2024 : « Le Procès du chien » a été présenté en sélection Un Certain Regard au Festival de Cannes 2024.

 

Inspiré de faits réels : « Le Procès du chien » est inspiré de faits réels. La réalisatrice a entendu parler d’un procès du maître d’un chien accusé de morsures répétées qui avait fini par enflammer toute une ville. Elle précise : « Les gens avaient fait des pétitions, s’étaient beaucoup impliqués, affrontés. Ça m’a rappelée le moment du mariage pour tous. Lorsqu’il y a un changement de pensée, cela crée des réactions épidermiques, parce qu’il y a du flou, du trouble, ce que les humains ont du mal à accepter. »

 

 

Avis de la presse : 

  • 20 minutes : « Le Procès du chien regorge d’une humanité admirable qui ne tombe jamais dans la mièvrerie. »
  • Sud Ouest : « La comédienne Laetitia Dosch signe une comédie loufoque, inventive, percutante. »
  • Le Monde : « Ici, désirs de pédagogie et de clarté se percutent, ouvrant sur une grande dissertation juridico-philosophique : qui est le chien pour l’homme ? Dans son grand brouillon, le film finit par ne ressembler à rien de connu, échappant à tous les formatages qui le menaçaient, inventant quelque chose de sincèrement foutraque. »

 

 

 

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